Dans les PME, les contrats se fondent parfois sur des poignées de main ou des ententes tacites plutôt que sur des accords écrits. En fait, des accords verbaux ou tacites peuvent donner lieu à des malentendus, et c’est souvent le cas. Mais, un contrat écrit constitue la preuve d’un accord entre deux parties. Cette preuve peut faire la différence si l’autre partie ne tient pas sa promesse. Il est important de consulter un avocat avant de prendre toute décision juridique contraignante. Toutefois, voici quelques informations de base à garder à l’esprit lorsque vous entamez le processus.
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Mettez-le par écrit
Vous devez toujours rédiger les contrats par écrit et signer par toutes les parties concernées. Les accords verbaux sont généralement applicables dans la plupart des tribunaux. Toutefois, votre affaire se résumera rapidement à un « non ». En fait, un contrat écrit comporte toujours moins de risques, car il y a énonciation des obligations des deux parties.
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Veillez à ce que les conditions de paiement soient incluses
En l’absence de conditions de paiement claires, il est difficile de savoir quand et comment le paiement sera reçu. En effet, indiquez toujours la date d’échéance du paiement, le nom du payeur et les conditions de paiement. Les paiements seront-ils par chèque, en espèces, par chèque garanti ou par virement bancaire ? En fait, quelle que soit la méthode choisie, veillez à indiquer les conditions de paiement.
Assurez-vous d’avoir tous les détails
Tous les contrats doivent mentionner tous les droits et obligations de chaque partie. Ainsi, cela permettra de ne pas avoir de doute quant à la responsabilité de chacun. Si les pratiques commerciales changent après la signature du contrat, n’hésitez pas à mettre à jour le contrat. En effet, faites-le de temps en temps pour refléter la façon dont vous opérez réellement avec l’autre partie. De cette façon, tout le monde est sur la même longueur d’onde et vous êtes protégé.
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Toujours identifier correctement les parties
Il est surprenant de constater à quel point les parties contractantes ne s’identifient pas correctement. De plus, c’est frustrant quand le contrat n’identifie pas la bonne partie dans le contrat. Par conséquent, il est important de nommer correctement les parties au contrat. Ainsi, vous saurez avec qui vous êtes en relation par le contrat. Si la partie est une entité commerciale, il est préférable de l’identifier par la raison sociale appropriée. Par exemple, société Dejardin.
Inclure des mesures de résolution des litiges
Soyons honnêtes : il est naturel que des litiges surviennent au sujet des contrats. Ainsi, pour éviter les frais de justice et d’avocats, convenir à l’avance d’une médiation. De plus, vous pouvez spécifier un arbitrage des litiges contractuels pour résoudre les problèmes plus rapidement et économiser de l’argent. En outre, convenez à l’avance d’un arbitrage contraignant, ou au moins d’une médiation. Ainsi, les deux parties pourront s’asseoir autour d’une table et discuter de la question.
Minimiser les litiges et réduire les risques
La plupart des contrats passent par une phase de négociation afin de s’assurer que chaque partie traite de manière équitable. En effet, ce processus est la base d’une bonne coopération, car il minimise la confusion et les disputes ultérieures. De plus, chaque partie sait ce qu’elle doit faire et ce qu’elle ne doit pas faire. Et en cas de divergence, elles disposent de preuves auxquelles elles peuvent se référer.